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Mon troisième retour à Constantine en novembre 2007

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Jeudi 8

Ce matin Djamel doit aller à son atelier car une commande imprévue vient de lui arriver. C'est donc Omar qui me servira de guide ce matin. Et nous voilà partis pour une nouvelle balade autour et sur le Rocher.

Nous descendons vers la gare, puis l'avenue de Roumanie qui passe devant la passerelle Perrégaux, pour atteindre les dessous du pont Sidi Rached.

Passerelle Perrégaux
Passerelle Perrégaux
La Medersa
Le long des gorges Vertige Ruines de la Souika
Sidi Rached
Le mausolée de Sidi Rached

 

Sous le pont de Sidi RachedUn escalier qui se glisse entre les piles de pierre nous remonte sur le pont que nous franchissons pour aller jusqu'à la place Lamoricière. Omar m'entraîne alors pour prendre un café sur la terrasse du café Pacha, café qui domine la place et son agitation. Je ne connaissais pas cet endroit, pas très facile d'en trouver l'accès, mais je le recommande.
Après cette petite pause, nous L'animation de la rue Rouault de Fleuryremontons vers la Brèche, puis repassons la passerelle Perrégaux pour atteindre la gare. Nous devons prendre contact avec une toute nouvelle agence de voyage (Théma). Nous rencontrons donc le directeur qui nous fait quelques propositions intéressantes pour les futurs voyageurs de notre association.
Nous récupérons la voiture et nous voilà partis pour le quartier Filali, près de la nouvelle mosquée Emir AEK, pour visiter l'auberge de jeunesse. Là encore c'est dans le cadre de l'association que je prends ce contact. Nous avons accès à tous les recoins de cette auberge de jeunesse, toute neuve et parfaitement entretenue. Une bonne adresse pour les routards.


ContrasteIl nous faut maintenant retourner vers le centre de la ville, car nous avions rendez-vous avec Driss vers 11 heures et il est plus de midi. Après divers arrangements et coups de téléphone, dont les Constantinois sont passés maîtres, je me retrouve pris en charge par Kamel, jusqu'à l'atelier de Driss. Nous devons nous rendre à l'appartement de Driss, vers le djebel Ouahch, pour le déjeuner. Malheureusement, pas moyen de trouver un taxi. Là encore la solidarité constantinoise se met en branle. Sortie de la route de l'AbîmeDriss appelle un de ses amis qui vient nous chercher, malgré les embouteillages, près de la Casbah, pour ensuite nous véhiculer jusqu'à chez Driss. Là nous attend un vrai festin, avec divers entrées, chorba, puis des boulettes de viande, pour finir par des fruits, et le café accompagné de gâteaux. Les autres convives nous quittent, et avec Driss nous redescendons vers la ville pour prendre un taxi qui nous dépose rue Viviani, devant la caserne des pompiers. Il ne nous reste que quelques dizaines de mètres pour rejoindre l'atelier de Driss où nous retrouvons Djamel.
Le soir approche et nous partons pour faire quelques photos. En passant je fais quelques achats rue Nationale. Et nous voilà de nouveau repartis vers le boulevard de l'Abîme, puis Sidi M'Cid où la lumière du soir est superbe, avant de continuer vers l'hôpital pour enfin rejoindre El Kantara. Un petit tour au cyber, avant de rentrer pour déguster une chorba.
Cette fois il en 23h30 quand nous éteignons les lumières.

 

 

Hôpital
Monument aux Morts
El Kantara

 

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